L'ancien sujet comportait uniquement deux posts, maintenant qu'un troisième est écrit, je vais le relancer.
Ce sujet, généralement inspiré par les conversations en guilde, allie les idées les plus folles à l'écriture d'un type fou. Vous pouvez réfléchir si vous le souhaitez, mais nous conseillons à ceux qui le peuvent de poser leur cerveau à côté d'eux. Pour les autres, n'hésitez pas à ouvrir 6 onglets supplémentaires pour oublier ce que vous allez lire.
Bleuten et Johnson, Hors série #1 : Les consommables.
Durant le périple de nos aventuriers, une question fut soulevée. Avec une utilisation abusive de ces composantes fictives, nous soupçonnons que l'avenir du continent ne soit guère rayonnant.
Notre thématique du jour concernera les potions ainsi que tout autre consommable que l'on peut trouver sur le continent. La question est la suivante : Mais que fait-on de tout ça ensuite ?
Chacun des groupes de colons qui ont débarqués durant les deux dernières années sur les terres de Fauconnia ont vu au premier abord des plaines vierges, à l'orée des bois et des montagnes, une grande terre sans vie étrangère, qu'ils pourraient peupler à leur bon gré. Et ils l'ont fait. Ils se sont notamment installés sur le deuxième continent, anciennement refuge des hybrides fuyant les duchés de l'antre ou simples voyageurs, qui maintenant grouillent de personnages en armure se déplaçant de part et d'autre dans toute la zone. Afin de s'installer, ils durent monter leurs bâtisses, couper des arbres, tailler de la pierre… On en arrive donc à notre problématique.
La taille de pierre demande des pointerolles, qu'on enfonce dans le caillou, le plus souvent à l'aide de son pouce, afin de lui donner la forme qu'on attends. Le débitage de planche demande des lames pour chaque billot, la scie aurait donc tendance à s'user trop vite, même si on utilise ses ongles. Je citerai aussi les fioles qui nous ont amené à ce questionnement. On pourrait citer tous les autres mais ce serait bien long. Nous fabriquons des centaines, voire des milliers de ces objets chaque jour. Nous en consommons tout autant, mais où est-ce que tout cela va une fois utilisé ?
Nous avons élaboré plusieurs théories :
1- Ces objets disparaissent soudainement et retournent à la rivière des sans-vie, où ils pourront de nouveau être extrait sous forme de minerai. Un cycle que tout est beau, tout est bien, sauf si les fanatiques aux cheveux blancs et accrocs à leur mère reviennent faire un rituel dans le coin.
2- On les jette au sol, on les enfouit et ça expliquerait pourquoi un loup arrive à nous blesser, même en armure parfaite… Nous aurions simplement marché sur une de ces lames, ou bien même que l'animal aurait pu aiguiser ses griffes grâce aux meules éparpillées un peu partout dans Grandfracas.
3- On les mange. Toutes ces potions, on utilise des fioles, des plantes, on boit le contenu et le contenant disparaît ? Non ! On les mange, il paraîtrait même que c'est la raison pour laquelle il est déconseillé de faire des fioles en krystalide. Le dernier qui a essayé aurait fait une indigestion puis aurait passé la soirée à vomir des arcs-en-ciel. Cette histoire peut s'entendre dans les réunions d'herboristes, tard le soir au coin d'un feu, mais personne ne veut se risquer à l'expérience.
Pour conclure cet épisode, nous prétendrons que ces trois théories sont très improbablement correctes et que la réponse à cet univers, à la vie et à tout le reste est de 42 consommables par personne et par jour. Ce qui en fait assez pour ne pas manquer de fer ou de sels minéraux durant les longues semaines, tout en retournant de nombreux consommables à la terre pour qu'ils soient recyclés naturellement par les flux thérianiques.
Merci de nous avoir lu, on se reverra au prochain épisode, pour parler des décibels générés lors de la reproduction des oryctus tapageur. Peut-être.
Ce sujet, généralement inspiré par les conversations en guilde, allie les idées les plus folles à l'écriture d'un type fou. Vous pouvez réfléchir si vous le souhaitez, mais nous conseillons à ceux qui le peuvent de poser leur cerveau à côté d'eux. Pour les autres, n'hésitez pas à ouvrir 6 onglets supplémentaires pour oublier ce que vous allez lire.
Bleuten et Johnson, Hors série #1 : Les consommables.
Durant le périple de nos aventuriers, une question fut soulevée. Avec une utilisation abusive de ces composantes fictives, nous soupçonnons que l'avenir du continent ne soit guère rayonnant.
Notre thématique du jour concernera les potions ainsi que tout autre consommable que l'on peut trouver sur le continent. La question est la suivante : Mais que fait-on de tout ça ensuite ?
Chacun des groupes de colons qui ont débarqués durant les deux dernières années sur les terres de Fauconnia ont vu au premier abord des plaines vierges, à l'orée des bois et des montagnes, une grande terre sans vie étrangère, qu'ils pourraient peupler à leur bon gré. Et ils l'ont fait. Ils se sont notamment installés sur le deuxième continent, anciennement refuge des hybrides fuyant les duchés de l'antre ou simples voyageurs, qui maintenant grouillent de personnages en armure se déplaçant de part et d'autre dans toute la zone. Afin de s'installer, ils durent monter leurs bâtisses, couper des arbres, tailler de la pierre… On en arrive donc à notre problématique.
La taille de pierre demande des pointerolles, qu'on enfonce dans le caillou, le plus souvent à l'aide de son pouce, afin de lui donner la forme qu'on attends. Le débitage de planche demande des lames pour chaque billot, la scie aurait donc tendance à s'user trop vite, même si on utilise ses ongles. Je citerai aussi les fioles qui nous ont amené à ce questionnement. On pourrait citer tous les autres mais ce serait bien long. Nous fabriquons des centaines, voire des milliers de ces objets chaque jour. Nous en consommons tout autant, mais où est-ce que tout cela va une fois utilisé ?
Nous avons élaboré plusieurs théories :
1- Ces objets disparaissent soudainement et retournent à la rivière des sans-vie, où ils pourront de nouveau être extrait sous forme de minerai. Un cycle que tout est beau, tout est bien, sauf si les fanatiques aux cheveux blancs et accrocs à leur mère reviennent faire un rituel dans le coin.
2- On les jette au sol, on les enfouit et ça expliquerait pourquoi un loup arrive à nous blesser, même en armure parfaite… Nous aurions simplement marché sur une de ces lames, ou bien même que l'animal aurait pu aiguiser ses griffes grâce aux meules éparpillées un peu partout dans Grandfracas.
3- On les mange. Toutes ces potions, on utilise des fioles, des plantes, on boit le contenu et le contenant disparaît ? Non ! On les mange, il paraîtrait même que c'est la raison pour laquelle il est déconseillé de faire des fioles en krystalide. Le dernier qui a essayé aurait fait une indigestion puis aurait passé la soirée à vomir des arcs-en-ciel. Cette histoire peut s'entendre dans les réunions d'herboristes, tard le soir au coin d'un feu, mais personne ne veut se risquer à l'expérience.
Pour conclure cet épisode, nous prétendrons que ces trois théories sont très improbablement correctes et que la réponse à cet univers, à la vie et à tout le reste est de 42 consommables par personne et par jour. Ce qui en fait assez pour ne pas manquer de fer ou de sels minéraux durant les longues semaines, tout en retournant de nombreux consommables à la terre pour qu'ils soient recyclés naturellement par les flux thérianiques.
Merci de nous avoir lu, on se reverra au prochain épisode, pour parler des décibels générés lors de la reproduction des oryctus tapageur. Peut-être.